App anti-stress : Respirelax et Cohérence cardiaque
Publication 02 mai 2017

App anti-stress : Respirelax et Cohérence cardiaque

Nous sommes tous concernés par le stress, épisodiquement ou parfois quotidiennement. Il peut avoir des répercussions sur notre santé et également devenir un véritable handicap dans la vie quotidienne. Nous avons identifié deux applications gratuites qui nous permettent de gérer ce stress par une technique de relaxation appelée la cohérence cardiaque.


Cohérence cardiaque : de quoi s’agit-il ?

Lorsqu’on est confronté à une situation stressante, sous le coup d’une émotion, le cœur a tendance à s’emballer. Il est possible de le calmer facilement en amplifiant sa respiration.
Cette technique de relaxation, qui permet de réduire le stress, l’anxiété, se base sur des exercices de respiration (temps d’inspiration- temps d’expiration) pour ralentir son rythme cardiaque.

Quelques applications pour retrouver son calme et se détendre en 5 minutes seulement au quotidien en équilibrant son rythme cardiaque par la respiration.


Appli : Respirelax

  • Appli gratuite développée par les Thermes d’Allevard.
  • Disponible sur AppleStore

 

Cette application permet de retrouver son calme en travaillant sa respiration.
Vous choisissez le mode de cohérence cardiaque (dynamisante : inspiration>expiration, équilibrante : inspiration égale à expiration ou relaxante : expiration>inspiration) selon le rythme qui vous convient le mieux, la durée de la séance ainsi que le nombre de respirations par minute. Ensuite, vous synchronisez votre respiration sur la petite bulle d’air .

Exercez-vous maintenant …
Lancez l’application et synchronisez votre respiration sur la bulle qui monte (j’inspire) et qui descend (j’expire).



Appli : Cohérence cardiaque

 

Cette application permet également de retrouver son calme en travaillant sa respiration.

Exercez-vous maintenant …
Lancez l’application et synchronisez votre respiration sur le curseur qui monte (j’inspire) et qui descend (j’expire).

 

Publié dans Actuascan, avril 2017, n°4.