Se parer contre la prochaine saison caniculaire
Publication 02 septembre 2019

Se parer contre la prochaine saison caniculaire

Vague de chaleur : vos travailleurs souffrent d’un « heat-out » et ne sont plus productifs ? Une solution : la protection solaire extérieure !

Car peut-être la vague de chaleur pousse vos travailleurs vers un « heat-out » (et donc un absentéisme) et proche d’un burn-out ?
Peut-être avez-vous dû, dans le passé, pendant une vague de chaleur, fermer le bureau pendant un ou plusieurs jours, ou un ou plusieurs de vos travailleurs ont été absents pendant la forte chaleur ?


Pour aider vos travailleurs, il est préférable de veiller à ce que votre climat intérieur ne chauffe pas. Il est recommandé d’arrêter les rayons solaires avant que ceux-ci n’atteignent la vitre. C’est pourquoi la protection solaire extérieure est la solution la plus appropriée. Avec une protection solaire intérieure, vous pouvez tout au plus arrêter l’incidence de la lumière, mais la chaleur se retrouve déjà à l’intérieure.

La protection solaire extérieure est également préférable à choisir plutôt qu’une installation airco qui consomme beaucoup d’électricité. Ceci n’est certes pas une solution durable étant donné le changement climatique et l’augmentation des prix de l’électricité !

La plupart des protections solaires extérieures résistent désormais aux tempêtes. Comme il existe le plus souvent une bordure des deux côtés avec une fermeture à glissière solide, le tissu reste tendu dans toutes les positions. En conséquence, la plupart des stores pare-soleil peuvent facilement supporter des vents violents (90 km / h pour les très grands écrans, 120-130 km / h pour les tailles de fenêtre normales) conformément à la norme européenne CE relative à la résistance au vent (EN 13561).

Travailler avec une protection solaire extérieure (et même des stores enrouleurs) est, lors de fortes chaleurs, de jours ensoleillés, aussi à défendre d’un point de vue ergonomique. Même les volets, sont encore défendables. Il faut, lors de fortes chaleurs, rester à l’intérieur et utiliser l’éclairage intérieur, mais l’éclairage LED actuel (de préférence de « couleurs chaudes ») émet peu de chaleur et permet un bon travail sur écran et autres activités. L’horloge biologique est à peine perturbée. Lors de jours très ensoleillés, notre horloge biologique est en outre réglée automatiquement le jour, étant donné que des quantités importantes de lumière solaire fonctionnent comme des « Zeitgebers » (« minuteurs ») sur le trajet d’aller et retour au travail.

Mathieu Versée,
Directeur de la cellule scientifique
Conseiller en prévention-médecin du travail

Publié dans Actuascan, septembre 2019, n°8.